MyVélo : la passion s’installe à Capital 8
Comment allier plaisir et décarbonation au quotidien ? Le fondateur de My Vélo, Louis-Charles Kiener, propose un début de réponse à Capital 8.
Pouvez-vous présenter My Vélo ? Quelle était votre ambition à sa création ?
Louis-Charles Kiener — « My Vélo est une enseigne de vente et de réparation de vélo pour tous les pratiquants : enfant, vélotaf, électrique, familial, cargo, route, gravel, VTT, nous sommes présents sur tous les segments pour accompagner les différentes pratiques et permettre à nos clients de se faire du bien tout en décarbonant leurs déplacements. Nous avons 12 magasins, 5 en région parisienne et 7 dans le Nord, où se trouve également notre centre logistique. Notre offre très large ne peut pas être présentée dans sa globalité en magasin, mais elle est disponible sur réservations sous 24h et peut être envoyé partout en France depuis nos magasins ou via notre site web.
Depuis notre lancement en 2013, nous cherchons à incarner trois valeurs fondamentales qui définissent notre identité : le local, durable et convivial. Notre vision se traduit par une sélection minutieuse de produits destinés à des utilisateurs passionnés, sourcés en France ou en Europe auprès de marques connues et reconnues comme Moustache, Lapierre ou Elwing. Nous portons une attention particulière à leur réparabilité et à leur longévité. ce qui nous distingue du modèle « supermarché du vélo ». Nous nous engageons également à répondre aux besoins spécifiques de nos clients en privilégiant une relation de proximité. Nous avons la chance de vendre un produit plaisir et utile, nous tenons à ce que cela se ressente ! »
Qu’allez-vous proposer à Capital 8 ?
Louis-Charles Kiener — « En nous implantant dans l’immeuble Capital 8, qui s’engage dans une démarche de décarbonation des déplacements, nous apportons aux résidents une proximité de service inégalée : résolution des problèmes dans la journée, essais sur place, conseils, etc. Nous proposerons également des ateliers pédagogiques sur la sécurité et l’entretien du vélo pour créer une véritable communauté autour de la pratique cycliste, en partenariat avec Bee-to-Green.
Chez My’Vélo, nous avons relevé le défi d’adapter notre concept à des espaces limités, à savoir 70 à 120 m2 à Paris contre 300 à 500 m2 en province, en effectuant un travail minutieux de sélection tout en maintenant un service d’atelier essentiel. Pour Capital 8 et ses résidents exigeants, nous avons donc constitué une gamme sur mesure, enrichie par des écrans présentant notre offre complémentaire et soutenue par une force commerciale en télévente. Notre modèle omnicanal, rare dans le secteur du cycle, combine l’expérience retail avec la puissance du web, garantissant des expéditions sous 24 h. »
Que vous évoque la notion d’open source appliquée à My Vélo ?
Louis-Charles Kiener — « Cela me renvoie à l’indice de réparabilité dont je parlais précédemment. De la même façon, nous ne proposons pas de vélos issus de technologies propriétaires (Angell, VanMoof). Enfin, à notre niveau, nous essayons de partager au maximum nos connaissances sur cet univers, car c’est un levier pour donner envie de découvrir le plaisir de la vie à vélo ! »
